Collection Anne Ma Muse. Fantasme DExhibe, La Suite (2/2)
Vous me connaissez, je suis Anne, la muse de Chris71, il vous rapporte le plus fidèlement possible ce que je ressens depuis mon divorce et mes envies de liberté.
Pierre un jour comprenant que javais envie de mexhiber a parlé de deux endroits près de Dijon.
Dijon car nous habitons Besançon et comme jai un emploi ayant des contacts avec de nombreuses personnes les risques seraient trop grands dêtre reconnu.
Je ne parlerais pas de la première fois, HDS et Chris71 ont déjà fait paraître mon histoire, mais de cette deuxième fois dont Pierre avait parlé.
Guêpière et chatte dénudées, il vient darrêter sa voiture sur une sorte de terrain vague juste à côté dun chantier dans ce qui sera un nouveau quartier de la ville.
En attendant, il allume le plafonnier me livrant aux regards dune sorte de faune tournant autour de nous.
Entendant du bruit sur la vitre passagère, je vois un type qui se masturbe la frottant tout le long de ma fenêtre.
- Anne, naie aucune peur, les fermetures de sécurité sont en place.
Sauf si tu souhaites sortir pour voir ces sexes de plus près aucun deux ne peut tatteindre.
Caresse-toi, ça va les exciter.
Lun deux tape sur le toit de la voiture me faisant hurler de peur.
- Ah !
- Nai aucune peur Anne, je te dis que tu ne crains rien, caresse-toi les seins.
Oui, lentement, profite de ce que je toffre.
Tu voulais apparaître aux hommes pour quils admirent tes seins magnifiques.
Ce sont eux qui mont fasciné le jour de notre rencontre et aujourdhui je les expose à tous ces voyeurs.
Malgré vitres et portes fermées, jentends le type parler.
- Monsieur, cest gentil de nous amener ta salope, ouvre la porte, on va lui donner le plaisir quelle est venue chercher.
Je prends peur.
- Pierre tu ne vas pas ouvrir, jai peur.
- Anne, peur et plaisir de se montrer sont étroitement liés.
Ces hommes veulent se vider les couilles et toi tu veux quils voient quelle salope tu es.
Acceptes-tu que jouvre un peu la fenêtre ?
- Elle est belle, cest ta femme.
Pierre appuie sur louverture de la fenêtre de mon côté de cinq centimètres.
Dans la fraction de seconde, deux bites passent leur tête me regardant fixement.
- Reculez, sinon je ferme la vitre et je vous coince la verge, la pression risque de vous castrer, je vous dis, cest madame qui est maîtresse de notre jeu.
Les deux bites se retirent, lun des voyeurs me fait voir son visage.
- Madame, demandez à votre mari de descendre la vitre, je voudrais vous caresser la chatte.
- Et moi vos seins, ils sont plus beaux que ceux de ma mère, les siens se cassent la figure on dirait deux queues de castor.
Je regarde Pierre, je prends conscience que cest sciemment que je vais franchir un cap.
Je passe mes doigts sur mes lèvres, les intimes, je touche mon clito qui réagit tellement les regards des voyeurs lont excité.
Je suis mouillée comme rarement je lai été dans les jours précédents surtout depuis la traversée de ma forêt.
- Pierre ouvre la fenêtre quils passent leur bras, je veux quils me touchent.
- Ah ! Merci madame, nous allons jouer le jeu, cest vous qui nous guiderez.
- Es-tu prête, tu ne le regretteras pas ?
- Pierre, je suis à deux doigts de la jouissance depuis que tu as arrêté la voiture, quand je te demandais de mexhiber, cétait pour vivre ce genre de moment intense.
Quand je vois ton pantalon, voir ces gars tournés autour de nous semble te faire de leffet toi qui as du mal à bander à ton âge.
Pierre reprend la commande et descend la vitre jusquà sa moitié.
- Tu toccupes des seins.
- Oui.
- Moi je prends la chatte, je vais lui mettre deux doigts.
- Poussez-vous un peu les mecs, je viens darriver, jai failli louper le début des festivités.
Elle a deux seins, je prends le droit.
Ma chatte, mon sein droit, mon sein gauche, surtout ma pointe grosse comme une fraise quand elle bande est assaillie.
Nous jouons une partition à trois mains, les hommes que je vois encore bien alors que je suis à la limite de lapoplexie, me caressent me faisant menvoler.
- Ah, ah, aaaaah.
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Excusez ces lignes qui manquent, en décrivant à Chris71 ce que je viens de ressentir sous le regard et les doigts de ces garçons, jai presque autant joui que ce jour-là.
La première fois, Pierre mavait proposé de me livrer à lhomme sur le banc.
Je ne lavais pas suivi, ça mouvre des perspectives.
Si ce terrain vague disparaît, il y a de grandes chances que la forêt et son allée des plaisirs soient encore là.
- Monsieur, votre femme est belle quand elle jouit, mes doigts coulissent sans problème dans son vagin.
Jaimerais y mettre ma queue, vous voulez descendre madame !
Madame regardez je bande comme jamais.
- Oh!
Je viens de crier, non pas car les doigts en moi redoublent de vitesse, mais parce quun visage est apparu à la place de la vignette.
Je ne mattendais pas à le voir sortir de nulle part.
- Vas-y fiston, caresse la bien, je sens quelle va repartir.
Madame, si le petit vous fait jouir, il mérite, cest la première fois que je lamène pour ses 18 ans.
Incroyables, certains semblent faire les voyeurs de père en fils.
Jai un fils, mon ex serait-il capable de lemmener voir des femmes sexhiber sur un parking ou sur un terrain vague ?
Et que penser de Pierre, qui me regarde me dévergonder.
- Aaaaaaaaaah !
Jai encore pris un pied sans pareil, je comprends pourquoi en mon for intérieur javais envie de mexhiber.
Lexpérience dune première fois où jai manqué daudace fait que je veux finir cette soirée en beauté.
- Pierre, je veux sucer le petit pour ses dix-huit ans.
- Les gars, vous avez entendu, laissez passer le puceau, ma compagne veut lui faire une pipe.
Je vois du mouvement, une bite sapproche de la fenêtre.
Il se met sur la pointe des pieds.
Pauvre chou, je devrais sortir, mais jai peur que les choses ne méchappent et surtout échappent à Pierre.
Je le prends en main, sa tige est longue et fine, cest une bite qui demande encore à sépaissir.
Je le fais entrer dans ma bouche, ma langue lui titillant le gland avant de lavaler.
Une main passe et vient se mettre de nouveau dans ma chatte.
Je suis à deux doigts de tourner de lil, mais jai un travail à faire avec ma bouche et par de longs traits épais, le petit dont jignore et jignorerai le nom à jamais se vide pendant un long moment dans le tabernacle où je lai enfermé.
Du sperme, jen ai dans ma bouche et Pierre en a plein la vitre, il semble que tous les gars autour de nous se vidangent en même temps.
Je déglutis.
- Pierre, jai entièrement eu ce que je suis venue chercher, emmène-moi.
Au moment où Pierre met les phares une voiture arrive tous feux éteint face à nous et vient se garer à notre hauteur.
Il démarre mais jai le temps de voir la passagère descendre et comme la lampe intérieure sallume, mon regard croise le regard de la femme sapprêtant à traverser la forêt la dernière fois.
- Anne, tu las reconnue, encore une fois elle va ramasser, une vraie salope.
Nous roulons quelques kilomètres sur la nationale.
Un parking de nuit pour les camions nous aide à nous arrêter.
Pierre vient mouvrir ma portière.
- Anne descend.
Putain il va falloir que je passe à la station de lavage avant de te ramener Anne.
Il me place face au capot allant même jusquà me coucher dessus.
Je sens sa bite entrer en moi me donner de vigoureux coups et sans attendre que jaie du plaisir, il me remplit la chatte comme le petit ma rempli ma bouche.
- Tiens, tiens, tiens salope prends, prends, prends.
Je nai pas le temps de jouir mais comment lui en vouloir quand je me remémore la soirée quil vient de me faire passer.
Je pense que dans lun ou lautre de ces lieux dijonnais, la petite Anne reviendra sexhiber.
Corrigé par la petite Anne.
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